Olivier Truc

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Visuel Olivier Truc
© Peter Knutson

Né à Dax en 1964, Olivier Truc est un journaliste, écrivain et scénariste français. Après avoir grandi en région parisienne, il rejoint Montpellier où il travaille pour divers médias comme La Gazette de Montpellier, Libération ou encore TF1.  

Depuis 1994, il habite à Stockholm et a été correspondant pour de nombreux médias, comme la radio RTL et le journal Le Monde. Documentariste pour la télévision, il réalise des documentaires pour les chaînes Arte et France 5.  

Sa carrière littéraire débute en 2006 avec la publication de L’Imposteur. Il publie également le roman policier Le Dernier Lapon, qui a été traduit en plus de 20 langues et obtenu plus de 20 prix dont les prix « Quai du Polar 2013 » et « Mystère de la critique 2013 ». 

Bibliographie

L'affaire Nobel - une autre histoire de la Suède, Grasset, 2019 (récit)

Le Dernier Lapon, Métailié, 2012 (T1 série policière)

Le Détroit du loup, Métailié, 2014 (T2 série policière)

La Montagne rouge, Métailié, 2016 (T3 série policière)

Le Cartographe des Indes boréales, Métailié, 2019

On est chez nous, co-écrit avec Sylvain Runberg, Robinson Editions/Hachette. tome 1: "Soleil brun" 2019; tome 2 : "Marchands d'espoir", 2020 (bande dessinée)

Les Chiens de Pasvik, Métailié, 2021

Les Sentiers obscurs de Karachi, Métailié, 2022

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Les sentiers obscurs de Karachi

Résumé de l'œuvre

Olivier Truc nous plonge à travers l’histoire d’un jeune journaliste, qui mène l’enquête pour trouver les coupables de l’attentat de Karachi en 2002. Fils de l’un des ingénieurs rescapés, il va progresser dans une jungle de mensonges politiques avant de découvrir où se trouve la vérité de Karachi. L’auteur nous transporte au cœur de cette enquête, à travers des personnages attachants, et apporte des réponses sur les événements de Karachi ainsi que sur les luttes de pouvoir régionales et syndicales en France. 

Les Sentiers obscurs de Karachi, Métailié, 2022

Extrait de l'oeuvre

Karachi.

17 avril 2002. Trois semaines avant l’attentat.

Le premier visage que Marc Dacian aperçut à la descente de l’avion n’était pas celui qu’il avait espéré et, après coup, il le prendrait comme un présage. Le technicien français chercha encore. Fouillant à travers la lumière agressive qui l’obligeait à cligner des yeux. Les silhouettes se multipliaient, se croisaient, pressées, inquiètes. Elles en donnaient l’impression. Il se trompait peut-être. La chaleur et l’humidité l’accablèrent. Chemise collée au torse. Il en oublia un moment sa déception. L’aéroport de Karachi fourmillait. Une fourmilière. ...

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