Amélie Poinssot

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© Sebastien Calvet

Amélie Poinssot est journaliste Europe à Mediapart, et se spécialise dans les sujets de l’agriculture et de l’écologie, par des enquêtes, des reportages, des analyses sur l’agrobusiness, les lobbys et marchés agricoles, les impacts sur le vivant et enfin, les alternatives.  

Elle signe son premier reportage pour Mediapart en janvier 2011, pour lequel elle suit des exilés arrivant à la frontière entre la Turquie et la Grèce. Trois plus tard, en février, elle rejoint la rédaction de Mediapart.  

Pendant les années qui suivent, elle écrit sur l’actualité européenne, depuis Paris ou sur le terrain. Elle travaille aujourd’hui au pôle écologie de la rédaction, pour des enquêtes sur les thématiques liées à l’agriculture et à la production alimentaire. En 2019, elle publie son premier livre chez Actes Sud, Dans la tête de Viktor Orbán.

Lors de la Comédie du Livre – 10 jours en mai, elle présentera son deuxième ouvrage, Qui va nous nourrir ?.

Bibliographie

Dans la tête de Viktor Orbán, Solin/ Actes Sud, 2019.

Qui va nous nourrir ? : au cœur de l'urgence écologique, le renouveau paysan, Solin / Actes Sud, 2024.

 

RETROUVEZ-MOI SUR CES ÉVÉNEMENTS

Couverture de Qui va nous nourrir ?

Résumé de l'œuvre

Qui va nous nourrir ? est une enquête sur le modèle agricole et alimentaire français. L’autrice construit son ouvrage à partir de rencontres avec de nouveaux acteurs français de la filière paysanne, des reconvertis sensibles aux questions écologiques.  

Avec minutie, Amélie Poinssot examine la politique publique, la réduction des installations agricoles, les agriculteurs qui partent à la retraite sans être remplacés, l'agroécologie et les difficultés du métier.

Extrait de l'oeuvre

« En interpellant diverses instances agricoles, j’ai pu mesurer combien celles-ci étaient repliées sur elles-mêmes, dans la défense d’un modèle daté, favorable à l’agro-industrie et nuisible à la planète. En me plongeant dans les budgets censés aider à l’installation à la tête d’une ferme, j’ai découvert combien l’allocation des ressources publiques continuait d’empêcher une transition vertueuse. Dans les entraves au renouveau paysan, il n’y a pas de fatalité, il y a des responsables. »

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