Fondé en 1996, le Bélial’ dédie son catalogue aux littératures de genre.

Considérant que le cœur battant de la science-fiction réside dans le format de la nouvelle — une bonne idée, une bonne histoire, le tout en quelques pages —, le Bélial’ travaille à la mise en avant de la forme brève. Une ambition qui se traduit par les collections « Une Heure-Lumière », romans courts formant un véritable fer de lance de l’Imaginaire, et « Quarante-Deux », dont les recueils, proposant une science-fiction exigeante, ont tous été remarqués par le Grand Prix de l’Imaginaire... et l’ont raflé à quatre reprises.

Nourrissant un attrait constant pour la littérature des possibles, mêlant prospective et vertige, le Bélial’ se veut l’éditeur de toutes les sciences-fictions — celle, débridée, de l’âge d’or (Poul Anderson, Leigh Brackett, Edmond Hamilton...), celle des classiques publiés dans des écrins révisés, retraduits, dignes des talents considérés (Frank Herbert, Ursula K. Le Guin, Jack Vance...), mais aussi celle des auteurs les plus exaltants du moment, talents confirmés (Greg Egan, Thomas Day, Catherine Dufour, Laurent Genefort, Ken Liu, Peter Watts, Lucius Shepard...), ou en passe de l’être (Jean Baret, Rich Larson, Ada Palmer, Priya Sharma, Ray Nayler, Tade Thompson...). Riche en récits et auteurs de hard SF, le Bélial’ réaffirme enfin son immense intérêt pour la science en lançant « Parallaxe » en 2018, une collection d’essais instaurant un dialogue entre science et science-fiction, sous la houlette de l’astrophysicien Roland Lehoucq. Une manière de boucler la boucle, en somme, pour un éditeur ayant depuis ses origines affirmé son intérêt premier pour une littérature de science-fiction aux fondements scientifiques solides.

Le Bélial’ se veut l’éditeur de toutes les sciences-fictions, on l’a dit, de toutes les aventures, de tous les horizons. Ad astra !
Olivier Girard et Erwann Perchoc seront accompagnés des auteurs suivants :

Alastair Reynolds, Audrey Pleynet, LL Kloetzer, Jean Baret, Ugo Bellagamba, Roland Lehoucq